Le lendemain du 14 juillet de cette année, je découvre la déclaration écrite la veille avec un feutre noir tenace (puisqu'elle y est encore) voici le texte :
14.07.08 Après plus d'un an et demie d'absence, un retour aux sources pour nos 5 ans, et plein de projets d'avenir !
Je t'aime toujours autant mon Ange.
A jamais et pour toujours.
Cet homme a dû mettre du temps à l'écrire, le soir tard ?
Ce titre me correspond bien puisque je suis trés imprégnée par le monde maritime, ayant été mariée longtemps avec un navigateur de la transat comme on disait à l'époque. Mais pas seulement pour cela, je suis descendante par ma mère d'une famille de pêcheurs bretons, sur dix générations....des gènes qui sont prédominants chez moi. Me décrire? Petite, mince, volontaire, une personnalité bien affirmée.
samedi, septembre 27, 2008
HOMMAGE AU GALET
Je reviens sur le piquet qui s'érige "au bout du monde", ce matin-là, quelqu'un a voulu célébrer le Galet et le piquet lui rend hommage, curieux travail ! il tient au bout d'un fil de fer et me paraît percé, la basse du Piquet est savamment drapé. Parfois c'est un bouquet de branchages qui le coiffe, pour la célébration d'un culte quelconque et le bouquet reste là, à sécher quelques jours....
Pendant quelques mois, continuant à prendre ce trajet, le plus près de l'eau, j'escaladerai les panneaux de béton. D'autres préfèreront prendre la voie parallèle, encombrée de galets. Les travaux ont juste été fait pour l'été. Je n'avais jamais vu celà, depuis 11 ans passés que j'arrive là, à un moment donné de ma marche, soit à l'aller, soit au retour.
APOCALYPSE
Le 10 mars 2008, une tempête d'une rare violence au Havre. Sur ce quai qui mène "Au bout du monde", la chaussée s'est décomposée, des plaques de béton se sont soulevées, chevauchées, superposées. C'est une image d'apocalypse quand j'y arrive le lendemain, c'est la stupeur, les galets sont partout, ont volé, d'énormes blocs de roche arrivés là....
jeudi, septembre 25, 2008
BRUME LEGERE
Ma photo du jour, vue d'en haut, dans la verdure et Le Havre dans cette brume délicate qui mystifie le paysage...
LA BOUDEUSE
Pendant tout ce temps où j'ai délaissé ce blog, il s'est produit au Havre quelques évènements que je vais rapporter, en voici un, l'arrivée le 28 août 2007 du magnifique trois-mats "LA BOUDEUSE", il est accueilli en grandes pompes. C'est la dernière escale de son tour du monde, avant Paris...
Après son tour du monde, La Boudeuse (navire de trois-mâts baptisé ainsi en hommage à l'explorateur Bougainville) s'est amarrée à Paris, au pied de la Grande Bibliothèque dans le XIIIe arrondissement. La Boudeuse a remonté la Seine depuis Le Havre, ce qui a contraint au démontage des trois mâts de trente mètres de haut. Avec un équipage de vingt-quatre hommes et femmes, le navire était parti de Bastia, en 2004, pour un tour du monde qui aura duré 1063 jours, à la rencontre des peuples de l'eau disséminés entre l'Amérique du sud, le Pacifique, l'Asie et l'Afrique.
Des Indiens Yuhups d'Amazonie colombienne aux bédouins de la mer et du désert du sultanat d'Oman, en passant notamment par l'île de Pâques, Tahiti, les Marquises, l'Indonésie avec les Badjaos, nomades de la mer des îles de la Sonde et Ste-Hélène, ils ont effectué huit missions auprès de ces «peuples de l'eau», qui ont par ailleurs donné lieu au tournage d'autant de films de 52 mn. « C'est la première fois depuis deux siècles qu'un navire traditionnel comme celui-ci réalise un tel périple , a expliqué le capitaine Patrice Franceschi , commandant du navire. Après le remontage des mâts, et un nettoyage à fond, la Boudeuse pourra, d'ici trois semaines, accueillir des visiteurs. Un musée sera installé sur le quai pour présenter une exposition des photos et films réalisés pendant son périple, et organiser des colloques ».
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Après son tour du monde, La Boudeuse (navire de trois-mâts baptisé ainsi en hommage à l'explorateur Bougainville) s'est amarrée à Paris, au pied de la Grande Bibliothèque dans le XIIIe arrondissement. La Boudeuse a remonté la Seine depuis Le Havre, ce qui a contraint au démontage des trois mâts de trente mètres de haut. Avec un équipage de vingt-quatre hommes et femmes, le navire était parti de Bastia, en 2004, pour un tour du monde qui aura duré 1063 jours, à la rencontre des peuples de l'eau disséminés entre l'Amérique du sud, le Pacifique, l'Asie et l'Afrique.
Des Indiens Yuhups d'Amazonie colombienne aux bédouins de la mer et du désert du sultanat d'Oman, en passant notamment par l'île de Pâques, Tahiti, les Marquises, l'Indonésie avec les Badjaos, nomades de la mer des îles de la Sonde et Ste-Hélène, ils ont effectué huit missions auprès de ces «peuples de l'eau», qui ont par ailleurs donné lieu au tournage d'autant de films de 52 mn. « C'est la première fois depuis deux siècles qu'un navire traditionnel comme celui-ci réalise un tel périple , a expliqué le capitaine Patrice Franceschi , commandant du navire. Après le remontage des mâts, et un nettoyage à fond, la Boudeuse pourra, d'ici trois semaines, accueillir des visiteurs. Un musée sera installé sur le quai pour présenter une exposition des photos et films réalisés pendant son périple, et organiser des colloques ».
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mardi, septembre 23, 2008
LA SENTE DU PAIN DE SUCRE
Ce matin, j'ai des ailes, avant d'attaquer la sente, je prends une photo de ce rond-point où le Roi Albert 1er, monte à jamais la garde, la sente est à côté du sens interdit qu'on voit à peine...
dimanche, septembre 21, 2008
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