lundi, février 12, 2007

Petit passage...pour y déposer un coquillage...

Le coquillage où luit tant de nacre, et qui traîne
Sur cette table, offert à tes doigts imprudents,
Surtout n'y colle pas ton oreille : dedans
On entend de trop près le chant de la sirène.


Jakline.

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